Chaque année en France plus de 17 000 personnes meurent d’un cancer colorectal. Vous affirmez pourtant qu’on pourrait sauver 10 000 vies par an avec des méthodes simples. Comment faire pour épargner à autant de gens de mourir de ce terrible cancer ?
Professeur Jean-François Seitz : Il faudrait prendre le taureau par les cornes ! Et faire un peu comme on a fait avec la sécurité routière dans les années 80. Vous savez que, à l’époque, il mourrait chaque année entre 17 et 18 000 Françaises ou Français sur les routes. Chaque année ! Avec la limitation de vitesse, avec la ceinture de sécurité, on est arrivé à faire baisser ce chiffre à 3 000, 3 500 actuellement. On pourrait faire exactement la même chose avec le cancer du côlon. On pourrait certainement sauver au moins 10 000 vies chaque année et éviter 20 ou 25 000 nouveaux cas de ce cancer qui atteint près de 48 000 Françaises et Français chaque année. Et c’est assez simple.
D‘une part, il faudrait revenir à une hygiène de vie favorable, c’est-à-dire avoir une alimentation saine et équilibrée type régime crétois comme on le connaît bien en Provence, et avoir une bonne activité physique régulière. Et puis le 2e point très important, c’est de faire le dépistage du cancer du côlon. Car ce dépistage est un outil de prévention puisqu’il dépiste les lésions précancéreuses, les polypes, que les gastro-entérologues savent très bien enlever au cours d’une coloscopie et éviter ainsi l’apparition ultérieure d’un cancer.
Demandez votre test à la pharmacie
On va reparler de l’alimentation et de l’activité physique bien évidemment pour donner des conseils très pratiques. Mais la première chose super facile à réaliser, c’est l’arme fatale, c’est le dépistage qu’on fait tout seul à la maison (on vous invite à voir la démonstration sur la vidéo jointe). Alors en quoi consiste cette enveloppe que vous tenez dans la main ? Et qu’est-ce qu’on fait avec ça ?
Eh bien en fait, c’est très simple. Ce test permet de faire une recherche de sang microscopique dans les selles. On propose ce test aux hommes et aux femmes de 50 à 75 ans. Et il doit être fait tous les 2 ans. Il est très simple à réaliser. Il faut tremper ce petit bâtonnet en plastique dans une selle à sec. En fait, on aura mis un petit hamac en papier qui est dans le kit, sur la lunette du WC et ainsi on va faire un petit prélèvement de selle que l’on remet dans ce tube. Il faudra bien sûr bien s’identifier avec son nom et sa date de naissance avec l’étiquette avec un code-barre que vous recevez quand vous êtes invité par la Sécurité sociale à faire ce test.
On reçoit une invitation par courier à la maison, je me connecte sur Internet ou bien je vais chez mon pharmacien ou chez mon médecin et on me remet cette enveloppe bleue qui contient le test à faire chez soi ?
C’est ça. Depuis 2022, on peut y accéder en le commandant sur Internet. Et on peut aussi, et c’est très simple, aller dans une officine et le demander à son pharmacien. Tout est expliqué dans la lettre qu’on reçoit de la Sécurité sociale à partir de 50 ans. Le pharmacien qui va vous remettre le test, ou votre médecin, va s’assurer que vous n’avez pas de symptômes qui orienteraient vers un cancer du côlon et nécessiteraient de faire des examens diagnostics, de faire une coloscopie. Il s’assurera aussi que vous n’avez pas de facteurs de risque élevés, c’est-à-dire par exemple des antécédents familiaux de cancer ou de polypes du côlon.
Une coloscopie si vos parents ont eu ce cancer
Si votre père ou votre mère, donc un parent du premier degré, a eu un cancer du côlon avant l’âge de 65 ans, on conseille de faire directement une coloscopie. Idem si vous êtes porteur d’une maladie inflammatoire du côlon – il y a la rectocolite hémorragique, la maladie de Crohn colique – et qui sont des facteurs de risque nécessitant une surveillance par coloscopie.
Si ce test est positif malheureusement, qu’on a trouvé du sang dans mes selles, qu’est-ce qui se passe ?
Le test est positif dans à peu près 4% des cas, donc c’est rare. Le plus souvent, le test est négatif et doit être refait 2 ans plus tard. Il faut vraiment le faire très régulièrement pour réduire le risque de faux négatif du test, parce qu’il y en a quand même quelques-uns. Mais si le test est positif, dans 4% des cas, là il est impératif de faire une coloscopie. Et cette coloscopie va retrouver beaucoup de choses. Une fois sur 2, le gastro-entérologue trouve un ou plusieurs polypes dans le côlon et va les retirer au cours de l’endoscopie avec un petit lasso, avec une petite pince. L’ablation des polypes va éviter l’apparition ultérieure du cancer.
Guérison 9 fois sur 10
On peut aussi, dans un petit nombre de cas, quand le test est positif, trouver un cancer. C’est le cas dans 6 à 7% (des coloscopies) et ce cancer 2 fois sur 3 est un cancer précoce qui sera facilement guéri et qui sera guéri au moins 9 fois sur 10.
Donc ça veut dire que ce test est vraiment très, très efficace. Si je le fais et qu’on trouve quelque chose, ce sera quelque chose qui souvent ne sera pas très grave et dont on pourra me guérir ?
Exactement. Et je dirais non seulement me guérir, mais m’éviter des maladies, m’éviter un cancer du côlon. Eviter un cancer du côlon en enlevant ces polypes, ces lésions précancéreuses – on les appelle aussi « adénomes » en termes plus scientifiques. Surtout s’ils mesurent plus d’un centimètre, s’ils ont de la dysplasie, on est sûr que dans les mois ou le peu d’années qui viennent, ils vont dégénérer en cancer. Donc enlever un polype comme ça, c’est une chance inouïe pour l’assuré qui a fait le test.
65% des malades encore en vie 5 ans après le cancer
Disons qu’on a un cancer effectivement avéré. Va-t-on pouvoir me traiter ?
Les traitements ont fait beaucoup de progrès. Globalement, le taux de survie, de guérison à 5 ans, tous stades confondus, est de 65%. Mais évidemment, si le diagnostic est réalisé du fait de symptômes, là on a, dans plus de la moitié des cas, des cancers avancés où il y a déjà eu une extension ganglionnaire. Donc il va falloir faire de la chirurgie suivie d’une chimiothérapie. On va parfois malheureusement aussi, dans 1/4 des cas, avoir une maladie qui a diffusé sous forme de métastases dans le foie, dans les poumons, dans d’autres organes. La guérison est alors difficile à obtenir et au prix de traitements assez lourds Et elle n’est pas toujours obtenue.
Le fait de diagnostiquer le cancer à un stade précoce permet de simplifier les traitements. Le traitement le plus simple, c’est l’ablation d’un polype. C’est déjà du cancer superficiel, du cancer in situ comme on dit. Parce que là, sans même que le patient s’en rende compte, le gastro-entérologue lui enlève un polype. On l’analyse : il y a du cancer en surface, il n’a pas envahi les axes vasculaires, etcetera, la guérison est assurée. Et il n’y a rien d’autre à faire.
Si le polype est dégénéré, mais que ce n’est pas déjà invasif, là on va faire une chirurgie du côlon. On va couper un segment d’intestin avec un curage des ganglions, mais à un stade précoce. Là aussi, la guérison est quasiment assurée et il n’y a pas de traitement complémentaire à faire après la chirurgie.
Les femmes touchées autant que les hommes
On le rappelle, c’est un cancer qui n’est pas typiquement masculin…
Absolument. Souvent, à tort, on pense que les femmes ont des cancers du sein, et les hommes des cancers du côlon. Quasiment la moitié des malades, ce sont des femmes. Donc tout le monde doit faire le le dépistage. Je parlais, il y a quelques semaines, avec une patiente qui disait « je fais mes mammographies, je suis sensibilisée au dépistage (du cancer du sein), mais pour le cancer du côlon ça ne m’est pas venu à l’idée de faire le test. J’aurais dû puisque maintenant j’ai un cancer, et il a fallu faire pas mal de traitements. » C’est une fausse idée qui circule pas mal.
Une autre fausse idée consiste à dire que le dépistage, ce n’est que la coloscopie. Non ! La coloscopie, c’est quand on a des facteurs de risque élevés. Si on n’a pas de facteurs de risque ni de symptômes et que son seul défaut, si je puis dire, c’est d’avoir passé 50 ans, d’avoir soufflé ses 50 bougies, eh bien là il faut faire le test et puis voilà. C’est très simple.
Seul 1 Français sur 3 fait le test gratuit…
Le test s’est simplifié par rapport à l’ancien test, l’Hemoccult, où il fallait faire 6 prélèvements. C’était quand même une usine à gaz, il fallait 3 jours de suite faire des prélèvements. Là il y a un seul prélèvement à faire, avec une lecture centralisée et donc vraiment des résultats qui sont fiables et qui détectent beaucoup plus de polypes et plus de cancers, 2 fois plus de cancers et 4 fois plus de polypes que l’ancien test Hemoccult. Donc on a une chance extraordinaire d’avoir ce test qui est gratuit, qui vous est envoyé par la Poste et que vous faites chez vous tranquillement.
Malheureusement, il n’y a que 1 Français ou 1 Française sur 3 de l’âge cible (entre 50 et 75 ans) qui fait le test. Ça c’est désolant parce que par rapport à nos voisins européens, on est presque les derniers de la classe (Finlande 79% de participation, Pays-Bas 71%, Autriche 64%, Pays basque espagnol 64%, Danemark 61%, Ecosse 61%, Portugal 41,3%, France 34,2% et région PACA 33%).
+140% de cancers chez les moins de 50 ans !
On constate également une augmentation du nombre de cancers digestifs chez les moins de 50 ans et notamment des cas de cancers du côlon. Est-ce une augmentation importante et en connaît-on les raisons ?
C’est une augmentation au niveau mondial. C’est une augmentation qui est très importante puisque ces 30 dernières années, le nombre de cancers du côlon chez les moins de 50 ans a plus que doublé : il a augmenté de 140% !
Pourquoi ?
Beaucoup d’éléments convergent pour dire que c’est lié à notre mauvaise hygiène de vie occidentale qui a débordé progressivement sur toute la planète, y compris sur des pays un peu moins développés autrefois et qui maintenant ont suivi l’exemple, l’exemple américain qui est l’exemple que dans beaucoup de cas il faut ne pas suivre. Donc la sédentarité, l’augmentation de l’obésité, l’augmentation du diabète, l’alimentation ultra transformée – on a abandonné le fait-maison pour se tourner vers des barquettes, souvent dans du plastique, et peut-être que les micro plastiques peuvent jouer un rôle -, l’environnement certainement, la pollution. Il y a des études récentes que je connais bien qui ont montré que la pollution modifie notre immunité. Probablement les produits chimiques et les pesticides peuvent jouer un rôle, peut-être encore plus dans certains cancers comme le cancer du pancréas qui augmente.
Baisse chez les hommes, hausse chez les femmes
Donc tout ça, la sédentarité, la mauvaise alimentation si je puis dire, ce sont vraiment des facteurs très importants. Heureusement en France on est un peu en retard sur cette tendance mondiale et là c’est bien. Jusqu’en 2023 on n’avait pas observé d’augmentation du cancer de côlon chez les jeunes en France. Et puis en décembre 2023, il y a un papier qui est sorti dans le bulletin d’épidémiologie montrant que les jeunes femmes entre 40 et 50 ans avaient un risque qui augmentait, pas énormément, mais un petit peu. Actuellement on est confronté à cette situation en France. L’incidence du cancer du côlon diminue chez les hommes. Mais elle augmente, modérément heureusement, mais elle augmente chez les femmes.
Donc c’est lié à l’hygiène de vie ?
L’hygiène de vie ! Le tabac et l’alcool augmentent aussi le risque de cancer du côlon. C’est un peu étonnant mais c’est comme ça. Et donc les femmes se sont mises à vouloir fumer autant voire plus que les hommes. Elles font peut-être actuellement moins d’activité physique. Il y a un taux d’obésité, de surpoids, qui est un peu plus important chez les femmes que chez les hommes.
Donc les femmes ont pris en moyenne – pas toutes – cette mauvaise voie qui les conduit quand même à cette augmentation d’incidence préoccupante. Et là, il faut avoir des actions. Là aussi il faut prendre le taureau par les cornes, C’est dès l’école, chez les tous jeunes, qu’il faut rétablir des réflexes d’activité physique, de bonne alimentation. Il faut que les mamans, ou si elles n’ont pas le temps les grands-mères – apprennent à leurs petits-enfants à cuisiner et les bienfaits de la cuisine fait-maison et non pas de ces barquettes d’aliments ultra transformés.
La charcuterie dans le viseur
Ce dont vous parlez, c’est tout ce qu’on appelle la malbouffe, les hamburgers, les nuggets, et tout ce qu’on trouve dans les supermarchés finalement. Le tout-prêt qu’on fait réchauffer… Avez-vous quand même quelques conseils d’aliments à privilégier, qu’on oublie souvent de manger et qui sont relativement faciles à préparer ?
Ce qui est néfaste, c’est de manger trop de viande rouge et trop de charcuterie. Les recommandations là-dessus ne sont d’ailleurs pas excessives. Pour la viande rouge, on dit pas plus de 500 grammes par semaine. Je pense que si on mange 3 steaks dans la semaine, on n’est pas privé quand même hein ! On n’est pas obligé de les manger tous les 3 ! La charcuterie c’est peut-être 150 grammes par semaine, c’est un peu plus difficile à tenir pour les amateurs de saucisson ! Il est très important de limiter cette consommation là.
Il faut privilégier les protéines végétales, les lentilles, les pois chiches, les petits pois qui sont très riches en protéines et on n’en mange peut-être pas assez. Le poisson bien sûr en alternant les poissons maigres et les poissons gras. Ce qui compte aussi beaucoup, c’est la variété de l’alimentation. C’est-à-dire de ne pas toujours manger la même chose. Manger beaucoup de fruits et de légumes. Le slogan est maintenant bien passé avec 5 fruits et 5 légumes par jour, les légumes verts notamment, cuits ou crus. Parce que crus, on a aussi cet apport en vitamines qui est excellent. Les fruits à coque, les noix, les noisettes, les amandes, tout ça c’est excellent aussi. On n’en mange peut-être pas assez.
Le sucre favorise le cancer, comme le tabac
Il faut bannir le sucre, les boissons sucrées, ce soda qui donne aussi la « maladie du soda », c’est-à-dire les cancers du foie induits par des stéatoses, des NASH, des stéatoses hépatiques non alcooliques, dues à l’excès de sucre. Il ne faut pas manger trop salé non plus. L’alcool, on peut en boire, mais il faut faire attention de ne pas dépasser 2 verres de vin par jour. Et pas plus de 5 jours par semaine. Et puis il ne faut pas fumer. Le tabac, terminé, ça doit être banni ! Pas seulement pour le cancer du côlon bien sûr.
Et on a l’activité physique qui est importante, c’est à dire qu’il faut bouger chaque jour un petit peu sans aller faire le marathon mais marcher…
Absolument ! Pas de marathon mais 30 minutes par jour d’activité physique modérée. L’activité physique modérée c’est quand on est un petit peu essoufflé, donc ça peut être la marche rapide. Donc 30 minutes par jour, au moins 5 jours par semaine. Et une règle importante c’est de penser à bouger aussi dans la journée, de ne pas rester plus de 2 heures d’affilée assis devant son ordinateur.
Activité physique + alimentation : 50% de cancers en moins !
Avec toutes ces mesures, rappelez-nous combien de cancers on pourrait éviter ?
L’hygiène de vie – c’est-à-dire activité physique et alimentation – c’est 50% de cancers du côlon en moins. Je rappelle qu’il y a près de 48 000 nouveaux cas tous les ans en France et au niveau mondial c’est aussi le 3e cancer le plus fréquent.
Que je sois jeune ou plus âgé, quels sont les signes qui doivent m’alerter sur la présence d’un cancer colorectal, et donc me faire consulter un médecin ?
Les signes, c’est essentiellement des modifications du transit intestinal. On se met à être constipé, alors que d’habitude on va bien à la selle. On a de la diarrhée. Mais ce n’est pas une diarrhée aiguë de 24 heures parce qu’on a mangé quelque chose qui était peut-être pas très frais. Non, là c’est une diarrhée qui dure. Ou bien une alternance de diarrhée et de constipation, ça c’est très évocateur aussi. Constater du sang dans les selles doit alerter également puisque le principe du test dont on a parlé c’est de chercher du sang microscopique qu’on ne voit pas. Mais si on a du sang macroscopique que l’on voit, il faut là aussi consulter. Et le plus souvent, le médecin et le gastroentérologue recommanderont une exploration colique par une coloscopie.
Le dépistage repère les lésions précancéreuses
Vous allez vous mobiliser avec nous à MProvence, avec des médecins, des patients et des associations durant tout le mois de mars de cette année 2025. Quel est le message principal à transmettre à la population ?
Le message principal, c’est dépistez-vous ! C’est-à-dire n’ayez pas peur du dépistage puisque, comme on l’a dit, il permet le plus souvent, une fois sur 2 quand il est positif, de trouver des lésions précancéreuses, des polypes, de les enlever et d’éviter le cancer. Donc c’est une arme de prévention. Actuellement 34% des Français participent à ce dépistage (organisé), ils font des tests à partir de 50 ans (et ensuite tous les deux ans). Il faudrait au moins qu’on double le taux de participation, comme dans les pays d’Europe du Nord, qu’on arrive à 70, 75% de participation. Les recommandations européennes, c’est 65% au moins. On en est très, très loin.
« Je suis inquiet »
Et ce qui m’inquiète, c’est que malgré l’entrée en lice des pharmaciens (qui peuvent désormais comme les médecins généralistes remettre le kit de dépistage à faire chez soi), on n’a pas assisté à un sursaut, à une augmentation du taux de participation. Donc c’est très inquiétant. Il faut vraiment mieux communiquer, peut-être qu’on communique très mal. Il y a des campagnes qui font maintenant place à l’humour pour vaincre les résistances et les peurs. C’est un geste simple qui ne peut que rapporter du bien. C’est un geste simple qui est indolore et c’est donc très facile à faire à la maison. On n’a que des avantages à le faire. Moi qui ai passé ma carrière à soigner des cancers, souvent à des stades avancés, je peux vous dire que maintenant que je prends un peu de recul, vraiment, la prévention, il n’y a pas mieux !
Conférence publique le 4 mars à Marseille puis à Gap, Toulon, Avignon et Nice
Le Pr Seitz participera à la conférence publique et gratuite organisée par MProvence « Prévenir et guérir le cancer colorectal – Alimentation, sport, dépistage et progrès de la médecine », mardi 4 mars à 17h30 à Marseille. Rendez-vous amphi Gastaut, Aix-Marseille Université, jardin du Pharo, 58 Bd Charles Livon, 13007 Marseille. Avec la participation de la Pr Laetitia Dahan, (CHU Timone), du Dr Yves Rinaldi (Hôpital Européen), de la Dr Emmanuelle Norguet (CHU Timone), du Pr Philippe Grandval (CHU Timone), du Pr Emmanuel Mitry (Institut Paoli-Calmettes), du Dr Xavier Hanna (Hôpital Saint Joseph), et en présence de M. Yann Bubien, directeur général de l’Agence régionale de Santé, Pr Eric Berton, président d’Aix-Marseille Université, M. François Crémieux, directeur général de l’Assistance Publique – Hôpitaux de Marseille (APHM), Dr Michèle Rubirola, première adjointe au maire de Marseille et présidente du conseil de surveillance de l’APHM.
Conférences suivantes :
Gap (Pôle universitaire, 2 rue Bayard) mercredi 12 mars à 18h;
Toulon (salle Franck Arnal, rue Vincent Scotto) jeudi 13 mars à 17h30;
Avignon mardi 18 mars à 18h (en partenariat avec Oncosud, amphithéâtre de la Chambre de commerce et d’industrie, allée des Fenaisons);
Nice jeudi 27 mars à 18h (salle du Stockfish, 5 avenue François Mitterrand).
Entrée libre et gratuite à l’ensemble des conférences.
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