Une nouvelle fois, et même si le travail devrait reprendre normalement ce jeudi, la grève des agents de la propreté a pesé longuement sur le quotidien des marseillais en ce début 2022. Il a même été question d’écocide tant le niveau de saleté de la ville a préoccupé les habitants, qui plus est pendant une crise épidémique et sanitaire.
Une image marseillaise pitoyable
Dévastatrice pour l’image de la deuxième ville de France, ce mouvement de grève trouve ses raisons principales dans un transfert mal géré depuis des années. La propreté est désormais une prérogative métropolitaine et, dans le grand public, cette subtilité n’est pas toujours perçue, loin de là.
L’impuissance de la mairie
Pour la municipalité en place, assaillie de questions et de critiques, il n’est pas facile d’affronter la situation sans avoir les clés pour la résoudre. De la négociation à la réquisition , les Sentinelles de l’info Isabelle Piras, Michel Couartou, Hervé Vaudoit et Yves Blisson reviennent sur ce conflit lancinant…
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