Une chose est sûre : les villes de l’avenir devront faire de la place aux potagers et aux vergers, en un mot à l’agriculture urbaine. L’artificialisation des sols, en fait la politique consistant à associer les terres à des activités prédéfinies et en quelque sorte sanctuarisées, nous contraint toutes et tous à trouver des solutions innovantes pour continuer à produire des fruits et des légumes.
Les urbains sont demandeurs, pour recréer d’abord des espaces de verdure, mais aussi pour développer, dans la mesure du possible, des circuits courts, voir très courts dans ce cas de figure… En effet Agrove propose, en quelque sorte, à chacun d’entre nous de créer son propre potager !
Nous transformer tous en jardiniers
Mais si l’entreprise de Quentin Rousselot est à même aujourd’hui de commercialiser des applications qui peuvent nous transformer tous en jardiniers et, au-delà de l’aspect “technique”, constituer un véritable média social ou sociétal, l’ambition de l’entreprise va bien au-delà. Et cette année, forte de son award, Agrove veut enchaîner très vite sur une levée de fonds afin d’être plus pertinente vis-à-vis des grandes institutions politiques qui gèrent nos métropoles et nos villes.
Tenter l’aventure américaine du CES
Cette belle aventure, très concrète, à démarré avec le potager urbain de The Camp avec un accompagnement du Crédit Agricole Alpes Provence dans le village by CA. Une épopée toujours portée par Quentin, le natif d’Oraison, qui, même s’il part cette semaine à la conquête des États-Unis, sait bien qu’il faut avant tout cultiver son jardin !
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