Marseillais avant tout, Pierre Grand Dufay a connu de multiples vies. Dans le désordre : entrepreneur, président d’un fonds d’investissement, diplômé d’études supérieures de droit, un temps dans la Légion étrangère, Président du conseil de Prud’hommes de Marseille, vice-président de l’Union pour les entreprises, ex-président de la commission Economie-Emploi au sein de la Région Sud… Il est également un auteur à succès, passionné de toutes ces technos que l’on qualifie de nouvelles et qui font aussi peur qu’elles intriguent.
Les mots pour dompter le metavers ou l’IA
D’ailleurs c’est avec les mots que le Phocéen a décidé de rendre l’intelligence artificielle ou le metavers plus abordables pour ses lecteurs. « Un de mes objectifs dans l’écriture c’est d’être didactique en vulgarisant, c’est-à-dire en expliquant simplement les nouvelles technologies. Je suis heureux quand le lecteur me dit qu’il a enfin compris », explique l’auteur de Le Monde de Tim et Les Vagues ne meurent jamais.
Vulgariser les nouvelles technos pour les démocratiser
Même si ces nouvelles technologies sont omniprésentes au fil des pages de ses romans, Pierre Grand Dufay reconnait qu’elles ne sont bel et bien là que pour agrémenter l’intrigue. Comme pour montrer qu’une meilleure perception de ces nouveaux outils passe avant tout par leur démocratisation. C’est en tout cas l’une des missions que s’est donné l’un des acteurs phare du monde économique sudiste.
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