La Provence Verte investit dans la culture

Lieu d'apprentissage, de création, de diffusion, d'échanges et d'expérimentation, le Conservatoire intercommunal de la Provence Verte propose un dispositif d'accès aux arts plastiques, à la danse, à la musique et au théâtre. Il s'adresse aussi bien aux amateurs de spectacle et d'expression artistique qu'aux futurs professionnels du secteur

culture

Former des acteurs de la culture sur la base de valeurs partagées comme la service public, la tolérance, le sens du social et du collectif, la prise en compte des différences, l’excellence artistique ou la diversité esthétique, c’est l’un des objectifs du conservatoire intercommunal de La Provence Verte et de ses deux établissements, Les Ursulines à Brignoles et La Croisée des Arts à Saint-Maximin.

Service public de territoire

Le conservatoire accueille des élèves inscrits, parmi lesquels de futurs artistes professionnels ou amateurs et de futurs acteurs du développement culturel qui ont vocation à poursuivre leurs études après le conservatoire. Il accueille aussi un public plus large lors des manifestations qu’il organise, à commencer par les élèves qui bénéficient des dispositifs d’intervention hors conservatoire, dans le cadre de l’éducation artistique et culturelle des jeunes. La mission du conservatoire et de ses deux établissements recouvre également la réduction des inégalités d’accès à la culture.

Le conservatoire au coeur d’un ancien couvent

L’ancien couvent des Ursulines de Brignoles est situé à proximité du centre historique, le long de l’avenue Dréo, au cœur d’un ensemble d’équipements publics comme le hall des expositions, la maison des services publics, le centre d’action sociale, le pôle Liberté… Le premier couvent des sœurs ursulines s’était établi au début du XVIIème siècle, en contrebas de la place Saint-Pierre. Le second couvent fut construit en 1837, au moment de la suppression des remparts du XVIème siècle. Il abrita cette congrégation vouée à l’enseignement des jeunes filles jusqu’en 1905.

La ville en fit l’acquisition en janvier 1909. Au cours du temps, il servi de salle de réunion à la Croix-Rouge, puis de patronage et de cantine laïque dans les années 1930. Il hébergea également la foire exposition des vins de Provence entre 1931 et 1972, mais aussi le corps des sapeurs-pompiers, de 1951 à 2007, le cinéma rural et le ciné-club, la bibliothèque municipale et les soupes populaires durant les deux guerres mondiales.

Un riche passé qui nourrit sa vocation actuelle.

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