La pose de la première pierre du nouveau groupe scolaire, 1ère tranche d’un chantier qui verra 6 nouveaux établissements sortir de terre en lieu et place des écoles Jules Ferry, François Fabié, François Villon et Anatole France, vient couronner un processus initié en 2014. L’avenir est en marche pour les enfants de la commune
A l’heure où à Marseille, plusieurs dizaines d’écoles délabrées vont faire l’objet d’un ambitieux programme de remise à niveau largement soutenu par l’Etat, les écoles de La Valette-du-Var connaissent elles aussi une sorte de révolution, avec le lancement des travaux du nouveau groupe scolaire. Un plan à 33 millions d’euros (financé par la commune et les collectivités territoriales, sans aide supplémentaire de la part du gouvernement) qui prévoit la construction d’une cinquantaine de classes, de deux restaurants, d’un centre aéré et de deux salles polyvalentes.
Un projet initié en 2014
Le projet avait été initié en 2014 par Christiane Hummel, alors maire de la ville. Il aura donc fallu près de 7 ans pour qu’il se concrétise.
Lors de la cérémonie de pose de la première pierre, Thierry Albertini, maire de La Valette-du-Var, n’a pas caché sa joie. « scellons l’avenir des écoles, a-t-il lancé la truelle à la main, soulignant qu’il n’oubliait pas que les Valettoises et les Valettois m’ont placé à ce poste pour que soit réalisé le programme approuvé par leur suffrage. C’est un chapitre important qui se réalise aujourd’hui. »
Exemplaire en matière d’environnement
Rappelant la genèse du dossier, le premier magistrat a précisé que, « comme pour tout projet d’ampleur, il faut savoir prendre le temps nécessaire à tous les préliminaires. Prendre le temps évite souvent de perdre son temps. Des écoles dimensionnées pour le futur, un centre aéré moderne et indépendant, mais aussi une salle polyvalente pour les élèves, pour les associations et pour les Valettois, seront un fleuron de notre ville. Comme l’ont dit les hommes de l’art avec professionnalisme, mais aussi avec leur cœur, ce groupe scolaire a toutes les qualifications pour être exemplaire en matière environnementale. » Une dimension aujourd’hui incontournable, surtout pour des bâtiments destinés aux enfants, ceux qui habiteront la planète après 2050.
Presse Agence
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