Infarctus, AVC : les conseils de la Pr Sarlon pour sauver sa peau !

AVC, infarctus, artériopathie des jambes font de plus en plus de ravages parmi la population. La Pr Gabrielle Sarlon (hôpital de la Timone) délivre une batterie de conseils pour y échapper. Car c'est possible dans 80% des cas ! Elle répondra aux questions du public lors de deux conférences gratuites à Marseille le 21 janvier et à Aix-en-Provence le 23 janvier.

Santé

Savez-vous que les maladies cardiovasculaires en France tuent quasiment autant que tous les cancers réunis ? C’est carrément rageant quand on sait que l’on pourrait éviter 80% de ces maladies. A Marseille, une médecin mène ce combat pour notre santé : c’est la professeure Gabrielle Sarlon, cheffe de l’unité de médecine vasculaire et hypertension artérielle à l’hôpital de la Timone (APHM). Elle dirige également le comité scientifique qui pilote la campagne de prévention organisée en ce mois de janvier par notre média MProvence. Elle participera aux conférences publiques et gratuites mardi 21 janvier à 17h30 au Pharo à Marseille et jeudi 23 janvier à 18h à l’hôpital Montperrin à Aix-en-Provence. Voici son interview pour savoir comment prévenir ces maladies en améliorant son hygiène de vie et leur dépistage.

Les maladies cardiovasculaires font 400 morts chaque jour en France. Mais vous affirmez que beaucoup pourraient être évitables. Alors pourquoi n’y arrive-t-on pas ?

Professeure Gabrielle Sarlon : Parce que je pense que les facteurs de risque qui vont déclencher ces maladies sont silencieux, comme l’hypertension artérielle, ou le diabète, ou le cholestérol. Ils n’entraînent pas de symptômes et ça rend problématique leur dépistage. Et si on méconnaît ces facteurs de risque, eh bien la maladie va apparaître. Il y a aussi probablement le fait qu’il est difficile d’intégrer toutes ces notions d’activité physique, de dépistage de tension dans son quotidien. Il faut du temps, il faut de l’argent et c’est parfois difficile à intégrer. Et il y a aussi un imaginaire collectif qui fait penser que ça touche les personnes d’un certain âge, alors que finalement ça peut aussi toucher les jeunes.

C’est-à-dire qu’il faut se préoccuper de sa santé cardiovasculaire tout le temps et dès qu’on est adolescent par exemple ?

Tout à fait.

Eviter de se faire couper le pied !

Quelles sont les 3 pathologies cardiovasculaires les plus fréquentes qui conduisent à une mort prématurée ?

La première cause de mortalité cardiovasculaire, c’est ce qu’on appelle l’accident vasculaire cérébral ou plus communément « attaque cérébrale ». Il y a ensuite l’infarctus du myocarde, c’est-à-dire « l’attaque cardiaque », l’occlusion, la thrombose des artères coronaires. La 3e maladie cardiovasculaire qu’on entend un petit peu, moins mais qui est quand même malheureusement grave, puisque ça finit en amputation, c’est l’artériopathie des membres inférieurs.

C’est le sang qui ne circule pas bien dans les jambes ?

Exactement. Ce sont les artères des jambes qui vont finir par se boucher à cause de facteurs de risque dont on va parler. Ces artères se bouchent et le pied n’est plus irrigué. On finit par le couper si on n’arrive pas à l’opérer.

« Regardez vos parents pour savoir ce qui vous attend ! »

Existe-t-il un profil type ou des profils type de personnes qui sont particulièrement sujettes aux maladies cardiovasculaires ?

Il y a tout d’abord l’âge. Un vieillissement des artères provoque ces maladies cardiovasculaires. Après, il y a l’hérédité qui est très importante à regarder. Ensuite il y a des maladies qui vont avec la sédentarité et les problèmes de poids et d’obésité, comme l’hypertension artérielle, le cholestérol, le diabète. Et puis des consommations de toxiques comme le tabac ou l’alcool peuvent provoquer des maladies cardiovasculaires. Enfin – il faut en parler – il y a tout ce qui est stress. Le stress de notre vie au quotidien va pouvoir aussi se répercuter sur nos artères.

On va développer tout cela. Je reviens sur un point : vous parlez d’hérédité. Est-ce à dire que si mon père ou ma mère a été sous traitement, a fait un infarctus, moi aussi je vais faire un infarctus ?

Eh oui malheureusement ! Je dis toujours à mes patients ou aux étudiants « Regardez vos parents, ils sont la photographie de ce qui peut vous arriver ». Et donc, pour essayer d’éviter les maladies qu’ils développent, il faut faire de la prévention et dépister au maximum ces facteurs de risque qui peuvent être traités avant que la maladie n’apparaisse.

La Pr Gabrielle Sarlon dans son service entièrement rénové au 1er étage de la Timone, devant une de ses vues préférées de Marseille : les calanques. (Photo Ph. S)

« Il faut de l’argent pour être en bonne santé »

Justement, on entend beaucoup parler de dépistage et de prévention. On nous dit partout de bouger et de manger équilibré. Est-ce que les Français se fichent de ces campagnes ?

Non, je ne pense pas qu’ils s’en fichent, je pense qu’ils sont à l’écoute. Je pense qu’ils intègrent toutes ces notions d’activité physique, d’alimentation, de consommation de tabac, mais qu’après il est difficile – et y compris pour moi, je l’avoue – d’intégrer et d’appliquer au quotidien tout ce mode de vie sain, ces règles de bonne conduite, et que ça prend du temps. Comme on l’a dit, ça nécessite de l’argent et ce n’est pas toujours facile d’intégrer tout cela dans notre vie au quotidien.

Vous voulez dire qu’il faut de l’argent pour bien manger, pour faire du sport ?

Exactement ! Il faut du temps. Dans nos vies ultra pressées, ce n’est pas toujours facile de l’intégrer. Et il faut de l’argent quand on doit justement prendre le temps d’une bonne alimentation ou d’activité physique dans certains centres de sport.

1 Français sur 3 a de l’hypertension après 50 ans

On va parler de votre spécialité qui est la prise en charge, notamment, de l’hypertension artérielle. Qu’est-ce qui provoque cette maladie et comment la soigner ?

L’hypertension artérielle, c’est quand même une maladie qui est en lien aussi avec l’âge, puisqu’on sait qu’à partir de 50 ans, un Français sur 3 développe de l’hypertension artérielle. Donc c’est presque, comme je dis à mes patients, une façon de vieillir, une façon dont les artères évoluent. Ce sont les artères qui vont générer une hyper-pression dans le système vasculaire. Il y a aussi les reins qui sont touchés dans l’apparition de cette maladie. Et chez certaines personnes, les reins vont entraîner une rétention d’eau et de sel. Et ça va faire monter la tension.

Il y a aussi le cœur qui va s’accélérer et générer de la pression artérielle. Et chez certaines personnes, notamment déprimées, il va y avoir des fabrications d’hormones qui vont aussi retentir sur le système vasculaire et générer de l’hypertension artérielle. Donc c’est multifactoriel : des artères, le rein, le cœur et le cerveau.

Mesurer sa tension dès 40 ans

Beaucoup de gens ignorent qu’ils ont de l’hypertension artérielle et c’est dangereux…

La problématique, c’est que c’est une maladie qui est silencieuse et qu’un hypertendu sur deux, en France, méconnaît avoir de l’hypertension artérielle.

Je vous écoute là, je me dis, « tiens, je n’ai pas fait de contrôle, peut-être que je suis hyper tendu ». Qu’est-ce que je dois faire alors ?

L’idéal, c’est de se faire mesurer la pression artérielle par son médecin traitant ou autre, en pharmacie ou en se faisant prêter l’appareil de quelqu’un de notre entourage. Il faut le faire une fois par an, idéalement à partir de 40 ans.

Tabac : la femme a 3 fois plus de risque de faire un infarctus que l’homme !

Abordons la santé cardiovasculaire des femmes – et je sais que c’est un sujet qui vous tient à cœur, vous êtes une militante de cette thématique là. Elle passe souvent sous les radars des médecins- oui, des médecins ! -, et beaucoup de ces femmes font des infarctus. Pourquoi les femmes sont-elles désormais en première ligne des maladies cardiovasculaires ?

Parce que nous les femmes, on a voulu l’égalité. Mais on a aussi l’égalité dans les maladies cardiovasculaires ! Malheureusement, on a une consommation qui devient à l’identique (des hommes), notamment du tabac. Et on sait que, à consommation égale de tabac, la femme aura 3 fois plus de risques de développer un infarctus qu’un homme. Les femmes sont plus sensibles aux facteurs de risque cardiovasculaires qu’on appelle classiques. C’est-à-dire l’hypertension, le diabète, le cholestérol et le tabac. Donc il y a déjà une susceptibilité accrue.

À côté de ça, il y a des facteurs de risque qu’on appelle hormonaux, spécifiques. Notamment les contraceptions oestroprogestatives qui seront inadaptées, par exemple chez la femme d’un certain âge, obèse et qui fume. Et ça pourra déclencher une maladie cardiovasculaire. Il y a aussi les grossesses qui se passent différemment d’il y a cent ans chez les femmes, qui arrivent plus tardivement, chez des femmes qui sont sédentaires et qui vont faire de l’hypertension artérielle ou du diabète pendant leur grossesse. Cela, on sait que ce sont des signaux d’alarme qui risquent, plusieurs années après, de faire développer une vraie hypertension et un vrai diabète.

Et puis après il y a la vie, c’est-à-dire la ménopause. Et à partir de 50 ans, la femme perd ses œstrogènes naturels, protecteurs et donc elle rattrape l’homme sur le risque cardiovasculaire.

A partir de 50 ans, prise de tension et prise de sang

Si je suis une femme, à partir de quel âge dois-je me soucier finalement de ma santé cardiovasculaire ? Et concrètement, qu’est-ce que je dois demander à mon médecin traitant ?

Déjà, il faut que toute femme qui est sous pilule oestroprogestative se fasse mesurer la pression artérielle et surveiller le taux de cholestérol et de sucre. Il faut que, quand des femmes font du diabète et de l’hypertension artérielle pendant leur grossesse, on leur explique que 5 à 10 ans après il faudra qu’elles se fassent surveiller la pression artérielle et le taux de sucre. Et puis à partir de la ménopause, à partir de 50 ans, il faut encourager les femmes à se faire mesurer la pression artérielle, avoir une prise de sang et éventuellement avoir un électrocardiogramme ou voir un spécialiste s’il y a plusieurs facteurs de risque cardiovasculaires qu’elles cumulent.

Les 5 conseils faciles à appliquer

Le 21 janvier à Marseille et le 23 janvier à Aix en fin d’après-midi (pour y assister, voir le détail en fin d’article), vous participerez à des conférences publiques qui sont organisées par notre média sur la prévention des maladies cardiovasculaires. Vous allez donner des recommandations pour un cœur et des artères en bonne santé. Pouvez-vous nous donner 3 ou 4 conseils facilement applicables et qui vont vraiment nous protéger ?

J’en ai noté cinq. Du coup j’ai appelé ça « le club des Cinq » ! 1- La première chose c’est, on l’a dit, de regarder ses parents, c’est-à-dire l’hérédité. Ils sont la photographie de ce qui peut vous arriver. 2- Se faire mesurer la pression artérielle tous les ans à partir de 40 ans ou même plus tôt si on a une hérédité. 3- Faire une prise de sang tous les ans pour regarder le sucre, le cholestérol et le rein. Pour vérifier justement qu’il n’y ait pas un dysfonctionnement. 4- Le 4e conseil, c‘est de marcher. Je n’ai pas dit bouger, je n’ai pas dit de faire du sport, j’ai dit « marcher ». 5- Et après, le 5e conseil, c’est de se faire aider. Si on a des des consommations de tabac ou une consommation d’alcool aussi, si on est stressé. Se faire aider si on a des attitudes un peu toxiques ou du stress.

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7.000 pas par jour, c’est déjà bien !

Je reviens sur votre 4e conseil, car on s’y perd un peu dans les avis. Certains affirment qu’il faut marcher 10.000 pas par jour, d’autres affirment que la moitié suffit. On raconte aussi qu’il faut faire 150 minutes de sport un peu intensif par semaine – du sport ou de l’activité physique un peu intensive. Mais c‘est irréalisable pour le commun des mortels ! Concrètement, qu’est ce que je dois faire pour avoir un cœur en bonne forme ?

Alors c’est vrai qu’on entend plein de chiffres, plein de recommandations. On se perd un petit peu. Je crois que l’important, c’est la régularité. Ça, c’est important – comme pour la prise d’un médicament – d’essayer de marcher comme je l’ai dit, de bouger tous les jours. Voilà déjà un conseil pour éviter la sédentarité et favoriser une activité physique régulière.

Après, il y a des études qui ont mis en en avant le fait que, autour de 7.000 pas par jour, on avait un bénéfice sur la morbi-mortalité cardiovasculaire. Donc chez les personnes de nos âges (après 45 ans, NDLR) on peut conseiller déjà d’avoir 7.000 pas par jour. C’est une bonne chose. Chez les personnes plus jeunes, on sera bien sûr plus à 8 ou 10.000 pas – soit le fameux chiffre que l’on entendait il y a quelques années. Donc adapter le nombre de pas peut-être à l’âge mais surtout favoriser la régularité.

La chaise est l’ennemie de vos artères

Et puis bouger dans la journée, se lever régulièrement, ne pas rester sur sa chaise, c’est cela que vous conseillez ?

Exactement. Il y a une différence entre la sédentarité qui est vraiment le fait de rester assis plusieurs heures dans la journée. Il faut essayer toutes les 2 heures de se lever ou de faire des réunions debout pour faire circuler le sang. Et après il y a l’activité physique qui consistera plus à essayer de cumuler un certain nombre de pas par jour. On conseille à peu près 30 min de marche par jour. Mais ça peut être de monter les escaliers de l’hôpital ou essayer d’intégrer la marche au quotidien dans sa vie de tous les jours.

Et la chaise est un faux ami, c’est ça ?

C’est ça !

Comment le stress abîme le coeur et les artères

Autre sujet qui vous tient à cœur, c’est le stress. Dans quelle situation met-il mon cœur en danger ?

Le problème du stress, c’est que ça va activer un système nerveux qu’on appelle le système nerveux végétatif sympathique. Il va accélérer le cœur et serrer, fermer, « vasoconstricter » les artères. Tout ça, ça va faire monter la pression artérielle et accélérer le cœur. Donc c’est néfaste pour le système cardiovasculaire. Ça peut venir de façon brutale. On a un accident, on a un choc émotionnel. Il peut y avoir des pathologies cardiovasculaires un peu aiguës qui surviennent sur un stress aigu. Et puis après, il peut y avoir des situations plus chroniques, la précarité ou des difficultés professionnelles, un surmenage, etcetera. Et ça aussi peut retentir sur les maladies cardiovasculaires.

Le coeur brisé des femmes de 50 à 60 ans

Quand on parle du « syndrome du cœur brisé », de quoi s’agit-il ? Ce n’est pas un mal d’amour…

Non, ce n’est pas un mal d’amour hein ! C’est une manifestation qui a été décrite il y a plusieurs années par des Japonais. Ils ont montré que certaines personnes – notamment plutôt des femmes d’un certain âge, de 50 ou 60 ans – suite à un stress aigu, vont fermer, serrer, vasoconstricter les artères du cœur et mimer un infarctus. C’est-à-dire que c’est la même présentation clinique : des douleurs thoraciques. Quand on fait un électrocardiogramme, on tombe sur les mêmes anomalies. Et quand on va regarder les artères du cœur lors d’une coronarographie, finalement elles sont intactes. Il n’y a pas de bouchon. Elles ne sont pas bouchées, il n’y a pas de caillot.

C’est simplement qu’elles se sont fermées sur le stress aigu et après elles se réouvrent. Mais le problème, c’est que sur la phase initiale brutale, quand les artères se sont fermées, le risque est équivalent à un infarctus. C’est-à-dire qu’il y a un risque de mort subite qui est important et ça montre l’effet du stress poussé à l’extrême et son retentissement sur le cœur et les artères.

Le froid peut favoriser un infarctus

Nous réalisons cette interview en hiver. On dit que le risque d’infarctus du myocarde y est plus élevé à cause du froid. Est-ce vrai, et pourquoi ?

C’est vrai. Et c’est un petit peu d’ailleurs le même phénomène. Quand on a froid, les artères se ferment. Notamment les artères de la peau pour justement essayer de conserver toute la chaleur à l’intérieur. Mais ça peut aussi se manifester au niveau des artères du cœur, des artères du cerveau, des autres artères. Et en fermant les artères, si elles sont un peu encrassées, la plaque d’athérome peut se déstabiliser et l’artère peut se boucher.

Il y a aussi du coup une consommation d’oxygène qui est plus importante dans le corps pour essayer de garder une température corporelle importante. Et donc cela favorise l’accélération du rythme cardiaque. Et donc en effet, attention au froid chez les gens qui ont des maladies cardiovasculaires ou des facteurs de risque cardiovasculaires. S’ils présentent des symptômes un peu nouveaux, un peu récents et un peu bizarres, il ne faut pas hésiter à consulter.

Ces aliments bons pour le coeur

Café, thé, chocolat, amande, pois chiches, même le maquereau comme je l’ai lu quelque part ! Ce serait bon pour le cœur et les artères. Que consommez-vous personnellement tous les jours ou toutes les semaines pour protéger vos artères, Gabrielle Sarlon ?

Si vous regardez dans mon bureau, il y a du café et il y a du chocolat. Ce sont mes 2 agents addictifs. Il faut les consommer avec modération bien sûr. C‘est surtout le régime méditerranéen qu’il faut conseiller. Et dans les aliments que vous avez cités, on a notamment la présence d’acides gras, des bons acides gras, des fibres, des bonnes protéine. C’est pour ça qu’on conseille ce type d’aliments.

Vous avez parlé à plusieurs reprises d’argent. Ça coûte cher de bien manger. Mais si on n’a pas beaucoup d’argent, est-ce qu’on peut manger correctement pour son cœur et ses artères ?

Je pense quand même que oui. Même avec peu d’argent. Il faut par contre prendre le temps de cuisiner. C’est ça surtout qui est important. C’est éviter les plats industriels qui vont être gorgés de sel, gorgés de gras, gorgés de sucre. Et il faut essayer, même si on n’a pas toujours le temps, d’acheter des fruits et des légumes et de les cuisiner soi-même, pour rendre les repas les plus sains possible et pour une bonne alimentation.

Et on met de l’huile d’olive, mais pas du beurre…

C’est ça ! 

Venez interroger Gabrielle Sarlon à Marseille et Aix

INSCRIPTION ICI : https://forms.gle/Jkgtx5124gAJrpUKA

La Pr Gabrielle Sarlon participera aux conférences publiques organisées par MProvence en partenariat avec les hôpitaux régionaux et Aix-Marseille Université, et le soutien d’ICI Provence et La Marseillaise : « Attaque cérébrale, infarctus, artérite : les soigner et les éviter ».

Rendez-vous mardi 21 janvier à 17h30 à Marseille (Aix Marseille Université, amphi Gastaut, Jardin du Pharo, 58 Bd Charles Livon, 13007 Marseille) et jeudi 23 janvier à 18h à Aix-en-Provence (amphithéâtre de l’hôpital Montperrin, 109 avenue du Petit Barthélémy). Entrée libre et gratuite.

Deux autres conférences sont organisées avec les spécialistes des hôpitaux locaux à Gap le jeudi 16 janvier à 17h30 (rendez-vous à la cinémathèque de montagne, 7 bis rue du Forest d’Entrais) et à Nice le jeudi 30 janvier à 17h30 (Centre Universitaire Méditerranée, 65 Promenade des Anglais).

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