La première ville des Émirats Arabes Unis a étonnamment des arguments à faire valoir en la matière, au premier rang desquels des aménagements avant-gardistes qui rangeraient presque la tour Burj Khalifa, une des plus hautes du monde avec ses 828 mètres, au rang des curiosités d’une époque révolue.
C’est ce qui a séduit la fondation Cap Ô Vert, récemment organisatrice d’un voyage de découverte et de réflexion autour, donc, des thèmes de la transition écologique. Le point névralgique de ce déplacement professionnel était l’exposition universelle de Dubaï, qui se termine fin mars et dont le pavillon français a été conçu par un architecte marseillais : Jean-Luc Pérez.
L’exposition universelle étant très orientée sur les problématiques de la ville de demain, le pavillon français est une magnifique illustration de l’adaptation aux changements climatiques et écologiques. Son grand auvent de lumière recouvert de tuiles photovoltaïques inspire l’ouverture et le rassemblement. Il exprime les attentes en matière de développement durable et d’énergie propre et traduit un certain enthousiasme pour l’avenir.

La fondation Cap Ô Vert est le fer de lance de la biodiversité en matière immobilière. Créée par Joël Briot, président du groupe de promotion Immalliance, elle prend tout son sens face aux crises mondiales de ces derniers mois.
La délégation provençale était composée notamment de professionnels marseillais de l’immobilier comme l’architecte Renaud Tarrazi, dont vous découvrirez ci dessus le carnet de voyage, et Stéphane Bouquet, vice-président de la fondation Cap Ô Vert et de l’association EnvirobatBDM (Bâtiment Durable Méditerranéen).

Yves Blisson
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